Chaque volume de la série « Shakespeare on Screen » se propose d’explorer comment une pièce de Shakespeare a été portée à l’écran. Cette série est la première et la seule de ce type dans le domaine des études shakespeariennes. Sa qualité a été saluée dans les périodiques shakespeariens les plus renommés à l’échelle internationale (Shakespeare Quarterly, Shakespeare Survey, Shakespeare Bulletin) et continue d’attirer des chercheurs comptant parmi les plus grands spécialistes de Shakespeare au cinéma. Chaque volume inclut une filmo-bibliographie quasi exhaustive regroupant les travaux internationaux publiés sur la question. Tous les auteurs de cette série partagent un même intérêt pour l’adaptation des œuvres de Shakespeare à l’écran, mais adoptent des approches variées – historiques, culturelles, analytiques, comparatives, pédagogiques, pratiques ou intertextuelles-, qui témoignent de l’extrême richesse de ce champ d’étude. Par leur variété, les contributions qui constituent cette série traduisent toute la complexité qui réside dans la conception et l’interprétation du film shakespearien.
Tous les volumes de la série sont intégralement en langue anglaise.
Each volume of the “Shakespeare on Screen” series aims at exploring the screen versions of a play by Shakespeare. is series is the first and only of its kind in the field of Shakespearean studies. It has received critical acclaim from the major international journals (Shakespeare Quarterly, Shakespeare Survey, Shakespeare Bulletin) and continues to attract the most renowned scholars working on the filmic adaptations of Shakespeare’s plays. Each volume comes with a thorough, chapter-length filmo-bibliography, which lists the international publications on the issue. All the contributors to the series share the same interest in the screen adaptations of Shakespeare’s plays, but adopt various approaches—historical, educational, cultural, analytical, practical, intertextual—, that testify to the richness of this research field. Varied as they are, all the contributions illuminate how complex the experiences of watching and making a “Shakespearean film” are.